Quartiers populaires: pas de confinement pour les violences policières!

Expression libre de confiné.e.s adhérent.e.s de SUD Education 31-65:

« Depuis le début du confinement, les violences policières se sont re-concentrées sur les quartiers les plus pauvres. Ces dernières années, les mouvements sociaux, notamment depuis la loi travail ont du faire à des techniques de répression et des actes de violence de la part des forces de l’ordre, répression qui atteint un paroxysme avec le mouvement des gilets jaunes. Mais confinement oblige, les exactions du pouvoir policier ont retrouvé leur terrain de prédilection: les quartiers populaires.

En préambule, nous précisons que l’institution de répression en général (Gendarmerie, Polices nationales et municipales, Armées etc…) sera désignée dans cet article par le terme « Police ». Aussi, pour éviter de nouvelles attaques sur la sémantique, l’acception utilisée des termes « racisme d’Etat », « personnes racisées »… est celle définie par le milieu universitaire et des sciences sociales.

[…] « 

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