Le numéro 136 du journal de Sud-Education 31-65 est sorti !

Retrouvez la version numérique ICI, et en papier, au plus vite, dans vos boîtes aux lettres, pour les adhérent.e.s. Tous les numéros sont à retrouver dans la rubrique Le Journal de Sud Educ 31-65 du site, PAR LÀ

Au sommaire ce trimestre :

Année 2020-2021, année de congrès !

Blanquer ou la tentation de la caserne

Face à toutes les attaques, qu’elles soient prétendument Islamo, ou bien Gauchistes, ou d’après lui, une fusion des deux, le ministre de l’éducation nationale, brandit la nécessité de tou.te.s se retrouver sans condition pour défendre les valeurs de la république.
Mais souvent, lorsqu’il est question de l’école, on ne sait plus très bien s’il s’agit de valeurs ou de morale,de république ou d’intérêts privés (bourgeois). En réalité on en a une petite idée….

LPR, le gouvernement profite du confinement pour enfoncer le clou

Dans les facs, pendant que l’enseignement à distance s’installe comme une évidence, que les étudiant.es sont confiné.es dans les cités U, privé.es de toute relation sociale, que les personnels tentent malgré tout de maintenir un lien entre eux et les jeunes, le gouvernement avance ses pions sans vergogne avec la sinistre LPR. La recherche publique est sacrifiée, les virus se marrent !

Création d’une commission Sécurité Sociale à Solidaires 31

Lettre ouverte

A Toulouse, une enseignante, adepte des réseaux sociaux, dénonce impunément ses élèves d’UPE2A, primo arrivants dans notre pays. Ses propos sont nauséabonds. Notre réponse…

Pas en mon nom

Au cœur de la tourmente, une camarade hisse les voiles de la pensée « à contre-courant » dans un texte salutaire

Contre la répression, la solidarité est notre arme

Par des sanctions disciplinaires envers les militantes et militants syndicaux, le ministre tente de bâillonner par la peur les personnels et les élèves en ciblant les établissements scolaires dans lesquels la mobilisation contre les E3C a été forte

Acte 4 des sans papiers et #DeconfinonsLeursDroits

A contre courant, les sans-papiers le sont aussi. Ces « premièr.es de corvées » si mal remercié.es, ont marché sur Paris pour réclamer le droit de vivre sans la peur au quotidien : des papiers, un toit, leur part de dignité. A Toulouse, la campagne de solidarité « Déconfinons leurs droits, régularisez !» est lancée.