Prochaine AG journée de SUD éducation 31-65
le vendredi 20 octobre de 9h00 à 16h00
au local de Solidaires au 52 rue Jacques Babinet à Toulouse
Pensez à déposer l’ASA et la convocation d’ici jeudi prochain
1 – Toutes et tous en grève le 10 octobre !
Dans le privé comme dans le public, la logique est la même, c’est pourquoi la riposte doit être commune!!
Pour rappel : »Le statut des fonctionnaires n’est plus adéquat (…) Rien ne justifie un emploi garanti à vie », Emmanuel Macron, Ministre de l’Economie sous Hollande.
Quand les salarié-e-s voient leurs salaires tirés vers le bas, leur hiérarchie des normes s’amoindrir et la précarité grandir au profit des chefs d’entreprise, quand la loi travail XXL écrase les plus fragiles pour renforcer les plus riches, on pourrait croire que les fonctionnaires sont épargné-e-s… Que nenni! Depuis le début des mobilisations, les secteurs privés et publics se mobilisent ensemble contre cette loi et son monde. Le 10 octobre prochain, ce sont les fonctionnaires qui seront en grève et en manifestation. Voici donc ici un petit récap’ des attaques du gouvernement envers la fonction publique dans le tract d’appel sud educ.
10h00 – AG des grévistes Education à l’Université Jean Jaurès salle 108-1er étage -UFR de psychologie
14h00 – Manifestation départ Compans Caffarelli
Retrouvez ici l’appel intersyndical complet.
2 – Comité de suivi « mixité sociale » : l’Assemblée Parents Enseignants Habitants veut en être :
Courrier de l’Assemblée Parents Enseignants Habitants de la Reynerie :
« Lors de la mise en place de votre projet intitulé « mixité » concernant les élèves de la Reynerie, vous vous êtes engagés à créer un comité de suivi du projet dès larentrée 2017.
La rentrée a eu lieu. Tout au long de l’année scolaire 16/17, des parents, des enseignants et des habitants ont manifesté leurs craintes concernant les enfants du quartier impliqués dans votre expérimentation, et ont indiqué à plusieurs reprises leur volonté de participer à la mise en oeuvre d’un projet réaliste quiprenne soin des enfants dans la durée et à partir du réel de leur vie.
C’est pourquoi, toujours guidés par ce souci, nous vous proposons de participer à ce comité de suivi, afin que nous puissions soit calmer nos craintes persistantes, soit vous aider à rectifier le projet dans la perspective de la rentrée 2018. »
La suite du courrier est à lire ici. On attend la réponse avec impatience…
3 – AVS et ATSEM : stop à la maltraitance sociale !
Lundi 9 octobre à 17h30, rassemblement à l’Espace Duranti à Toulouse pour soutenir les ATSEM face aux réorganisations de services.
Il a en effet été constaté depuis la rentrée de nombreux dysfonctionnements dans les écoles suite à la réorganisation du service des ATSEM de la ville. Les écoles représentées considèrent que cela conduit à une dégradation des conditions d’apprentissage des élèves et des conditions de travail des enseignant-es. Sur le terrain, les équipes rencontrent de réelles difficultés. Il a été ainsi décidé d’appeler à un rassemblement, lundi 9 octobre à 17h30, devant L’Espace Duranti, 6 rue du Lieutenant-Colonel Pélissier (jour de la réunion directrices-teurs avec Mme Lalane de Laubadère).
« Concitoyennes, concitoyens, parents d’élèves, équipes éducatives, personnel de direction d’établissements scolaires, équipes soignantes, accompagnants d’élèves en situation de handicap, nous, Accompagnants d’Elèves en Situation de Handicap (AESH), nous demandons la fin de la maltraitance socio-économique dont nous sommes l’objet.
Vous trouverez le contenu de la lettre que nous adressons à Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République. sur notre page Facebook : https://www.facebook.com/AESHLoi2005/
Nous sollicitons vos signatures pour avoir plus de chance d’être entendus et écoutés.
Nous réclamons :
– la fin des embauches en CUI mais des embauches directes en contrat AED-AESH ;
– Une adaptation à l’emploi avant la mise sur terrain de l’accompagnant(e) ;
– Une information et une formation plus conséquente des enseignants sur l’accueil des élèves en situation de handicap, de la maternelle à la terminale et sur le travail collaboratif avec l’accompagnant(e) ;
– Le passage de la « période d’essai » actuellement de six ans à trois ans au moment de la signature du CDI ;
– La prise en compte des années d’ancienneté (six, voire huit ans) au moment du passage en CDI ;
Retrouvez également la pétition à signer ici : https://www.petitions24.net/stop_a_la_maltraitance_socio-economique_des_avs
4 – Stage fédéral « Outils et pratiques de base de défense des conditions de travail : enjeux, butées, mutualisation et perspectives d’actions »
Stage de formation des équipes militantes
Jeudi 16 et vendredi 17 novembre 2017 à la Bourse du travail de Paris,
annexe 67 rue de Turbigo, métro Arts et métiers ou République.
Horaires : jeudi de 10h à 18h (puis apéro autogéré) et vendredi de 9h à 16h.
La commission « Et voilà le travail ! » organise un stage fédéral autour des outils et pratiques de base afin de lutter et d’améliorer les conditions de travail (RSST, DGI, pratiques d’enquêtes, tracts et communiqués…), les enjeux et entraves dans leur mise en œuvre à travers le partage d’expériences et les mises en situation concrètes. Après plusieurs années d’utilisation et d’expérimentation des outils, les équipes pourront mutualiser les expériences et débattre des perspectives d’actions.
Ce stage sera l’occasion à la fois de former de nouveaux militants à la pratique et la diffusion de ces outils (transmission aux équipes, animations de stages, RIS ou HMI « conditions de travail »…) et de croiser les expériences de terrain des militant.e.s déjà formé.e.s pour affiner nos pratiques, tenir compte de la diversités de nos réalités syndicales et déjouer les différentes entraves de l’employeur.
Documentation à retrouver ici.
5 – Catalogne : non à la répression violente de la droite néo-franquiste !
Catalogne : non à la répression ! Oui au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes !
« Depuis des semaines, l’Etat espagnol use de menaces et de répression en Catalogne. Interventions de la guardia civil dans nombre de bâtiments officiels de la Generalitat de Catalunya, arrestations de responsables de l’administration et de ministres, harcèlement, violence et emprisonnement de militants et militantes de divers mouvements sociaux et politiques, lieux de vote pris d’assaut et interdits à la population, urnes volées, tirs sur des manifestants et manifestantes pacifiques …
Les évènements actuels montrent à quel point le spectre du franquisme est encore présent. Comment nommer le régime d’un pays où les « forces de l’ordre » tirent sur les gens parce que ceux-ci veulent voter ?
Indépendance ou non ?
C’est à la population qui vit en Catalogne de décider ! Pas à d’autres. Les forces d’occupation de l’Etat espagnol doivent se retirer… »
Lisez le tract complet ici.